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Oyonnax

Infos :

Oyonnax se situe au nord du département de l'Ain, à la limite nord du Haut Bugey, dans une région de lacs, de forêts et de rivières entre les agglomérations de Lyon et Genève. La ville est située dans le massif du Jura, à la porte du parc naturel régional du Haut-Jura. Elle est traversée par l'Ange et par son affluent la Sarsouille. Le Bassin d'Oyonnax bénéficie d'un environnement de moyenne montagne privilégié permettant la pratique de nombreux sports et loisirs. Oyonnax est une des rares villes de France à arborer la médaille de la résistance.

Office du Tourisme : Tél. 04.74.77.94.46



A voir à Oyonnax  :

Arrêt du chemin de fer touristique de la « Ligne des hirondelles ».

Église Saint-Léger : Elle fut construite en 1840, par l'architecte Chenavard.

Forêt communale de la Brétouze : Composée de 60% d’épicéas, la forêt de la Brétouze est le lieu où les oyonnaxiens ont plaisir à se promener. Cette pépinière communale présente un kiosque rustique, des sentiers pédestres et de petites sources. Ici s’y déroulait, pendant les premières années du siècle, tous les premiers dimanche de juillet, une fête champêtre réunissant parfois jusqu’à 4000 personnes venues cuire la côtelette au feu de bois.

La Grande Vapeur : Ce monument a été renommé, la « Grande Vapeur » désignant à l'origine un autre bâtiment plus ancien qui fournissait de l'énergie grâce à la vapeur et qui appartenait à la Société du moteur industriel. Cette première Grande Vapeur a ensuite changé d'usage plusieurs fois jusqu'à devenir une salle de cinéma avant sa destruction en 2001.
La Grande Vapeur est un bâtiment construit en 1905, par l'architecte Auguste Chanard. À l'époque c'est une usine d'une nouvelle génération : elle est composée d'une soixantaine de cabines individuelles branchées sur un seul moteur grâce à la transmission de courroies. Elles sont louées par les ouvriers, appelés « piéçards » car payés à la pièce. Ceux-ci sont donc totalement indépendants, hormis le fait qu'ils sont sous l'autorité de l'Union électrique — ancien nom d'EDF — propriétaire des lieux et fournisseur de l'énergie nécessaire aux machines. L'usine fonctionne ainsi un demi-siècle, avant l'invention de la presse à injecter.
En 1967, la ville d'Oyonnax rachète le bâtiment à EDF, qui n'en a plus aucune utilité. Il est classé monument historique en 1988, et est réhabilité afin d'accueillir le musée du peigne et de la plasturgie.

La maison Brunet : Ce bâtiment est l’un des plus anciens de la ville. Il abrita la mairie au 19° siècle. Juste à côté, on peut voir le Monument aux Morts des trois guerres, qui comporte notamment des scènes de la Résistance.

La place de la Croix-Rousse : Cette place se situe au cœur d'un quartier (en plein réaménagement) qui porte le même nom. Ce sont les industriels lyonnais lors de leurs collaborations avec leurs homologues oyonnaxiens qui ont souligné par ce surnom la ressemblance géographique avec la Croix-Rousse lyonnaise : une forte présence industrielle dans un quartier en pente et accessible par des montées très raides, rue du 8 mai 1945, rue du Muret et rue du Château. La place ne constitue qu'une terrasse puisque la rue de la Paix, également très pentue, amène aux quartiers supérieurs de la ville (place des Déportés de 1944, lycée Paul-Painlevé). Pour la différencier de la lyonnaise, la Croix-Rousse oyonnaxienne a longtemps porté un "s" final (Croix-Rousses), désormais abandonné.

Le lac Genin : Ce joli lac de montagne est situé dans une clairière entourée de sapins. Classé site naturel, il se trouve à une altitude de 831 m et présente une superficie de 8ha. Magnifique lac de combe, il se partage entre trois communes : Oyonnax, Echallon et Charix. Surnommé "Le petit Canada du Haut-Bugey" le site offre diverses activités aux visiteurs : sentiers de randonnée circuits VTT, baignade surveillée, pêche. En hiver vous pourrez goûter aux joies du ski de fond, du patin à glace, de la promenade en raquettes ou encore de la plongée sous glace. On y rencontre une flore intéressante de marais, notamment avec les Drosera, plantes carnivores.

Les vieilles publicités : Rue Sonthonnax, ces publicités murales furent peintes en 1923 par le plâtrier-peintre oyonnaxien Bellini et restaurées par les professeurs du Centre Culturel Aragon sous la direction de Monique Brochet.

Musée du peigne et de la plasturgie : Ce musée, unique en Europe, vous plongera dans l’étonnante aventure industrielle d’Oyonnax, capitale du peigne et de la plasturgie. Il retrace l’évolution des progrès techniques, scientifiques, artistiques et sociaux liés à l’apparition et à l’utilisation de la matière plastique par l’homme.
Ouverture toute l’année sauf jours fériés. Tarif : 4,50 €. Gratuit jusqu’à 7 ans. Tél. 04.74.81.96.82

Parc de l'Oyonnalite.

Parc René-Nicod.

Parcours sportif de la Bretouze.

Randonnée du lac Genin : Selon la saison, vous pourrez y venir pour fuir la canicule ou pour patiner sur le lac gelé. Circuit au balisage jaune. Difficile. Itinéraire disponible dans le topoguide "Randonnées pédestres dans le Haut-Bugey, le Pays Bellgardien et le Pays de Gex".
Distance : 14 km. Dénivelé : 550 mètres. Durée : 5h.

Sentier de la Sarsouille : En partant du centre-ville d'Oyonnax et en remontant le cours d'eau la Sarsouille dans la forêt de la Bretouze, venez découvrir la belle histoire qui le lie aux habitants de la région.
Distance : 5,6 km. Dénivelé : 254 mètres. Franchissement de gués et d'une passerelle suspendue : évitez d'emprunter le sentier en cas de pluies récentes. Les enfants doivent être accompagnés. Partez bien chaussés... et n'oubliez pas de prendre de l'eau ! Respectez les règles de sécurité en cas d'exploitation forestière. Dépliant disponible à l'Office de Tourisme intercommunal d'Oyonnax.


Ordonnaz

Infos :

Entouré par les communes de Lompnas, La Burbanche et Rossillon, Ordonnaz est situé à  34 km au Nord-Ouest d'Aix-les-Bains la plus grande ville aux alentours. Situé à 853 mètres d'altitude, Le Ruisseau de la Vourte, le Ruisseau de Papan, le Ruisseau du Creux du Solliant sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune d'Ordonnaz. La commune est proche du parc naturel régional du Massif des Bauges.



A voir à Ordonnaz  :

Mini-musée du Comté : Ancienne fromagerie du village en activité de 1881 à 1969. Découverte de tous les instruments utilisés pour la fabrication du beurre et du fromage.
Ouverture toute l’année sauf le lundi. Tél. 04.74.40.90.37

Puits des chanoines de Saint-Ruf datant de 1118.

Randonnée le Calvaire de Porte depuis Ordonnaz : Sentier-Nature

Tilleul planté à côté de l'église en 1601 pour commémorer le rattachement du Bugey à la France.

Visite guidée  « Sur les pas des chanoines de Saint-Ruf » : Découverte des sites d’intérêt : fours, ancienne fruitière, puits, lavoirs, fontaines, église… Histoire d’Ordonnaz de l’époque romaine à nos jours. Durée de la visite : 2h30.
Période des visites sur demande. Tarif gratuit. Tél. 04.74.40.90.37


Oncieu

Infos :

Communément appelé le Diamant du Bugey, venez découvrir un village pittoresque classé site historique et qui a la particularité d’être construit en rond. Une des explications de la forme circulaire du village serait qu'un plus ancien village aurait été détruit suite à un événement brutal (incendie, peste) et sa reconstruction autorisée autour du pré féodal avec la condition de ne pas percer de fenêtre ou de porte donnant sur le pré. Les habitants parquaient les troupeaux dans la partie centrale.


A voir à Oncieu  :

Massif d'Evosges.

Grotte de l'Âne.

Le rocher dit de la Cathédrale (jurassique supérieur type rauracien).




Neuville-sur-Ain

Infos :

Neuville-sur-Ain est située à la pointe sud du Revermont et dans la partie la plus montagneuse du canton de Pont d'Ain. La rivière d'Ain qui la limite en partie, au levant, quitte alors les chaînons du Jura pour devenir une rivière de plaine. Le Suran aux nombreux méandres la traverse du Nord au Sud. Les deux vallées sont presque parallèles et enserrent une grande partie de la commune. La plaine de Thol est constituée de dépôts fluvio-glaciaires (quaternaire) tandis que les parties rocheuses, essentiellement en bordure des deux vallées, se rattachent au jurassique (secondaire). On compte huit hameaux, à savoir Arthurieux, Châteauvieux, Fromente, Planche, Rappes, Résignel, Saint-André et Thol. Le bourg de Neuville se compose lui-même de deux quartiers : Neuville-le-Haut, ou la ville, regroupée autour de l'église et du centre mairie, école, salle des fêtes. Le port, dont bien sûr, l'existence et le développement ont été étroitement liés à la rivière d'Ain, quartier auquel on peut rattacher les quelques maisons sous les « tilleuls » et de Bosseron, ces dernières situées en bordure de la D.984.
Office du Tourisme : Tél. 04.74.37.77.16



A voir à Neuville-sur-Ain   :

Abri préhistorique de la Colombière : Parfois nommée abri de la Colombière ou abri-sous-roche de la Colombière, cette modeste cavité est célèbre pour le patrimoine archéologique qu'elle recèle et pour les fouilles qui s'y sont succédé tout au long du XXe siècle. Située sur une propriété privée, la grotte de la Colombière n'est pas accessible au public. Le vaste porche d'entrée théâtre des fouilles archéologiques est cependant bien visible depuis le chemin (accessible aux piétons uniquement) qui relie Neuville-sur-Ain à Poncin en rive droite de la rivière d'Ain, sur le sentier aux falaises d’escalade. La grotte fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 28 décembre 1946.

Chapelle : A Arthurieux. Placée sous le vocable de Sainte-Anne, elle a été construite par les habitants à l’emplacement d’une plus ancienne en remerciement pour avoir été épargnés de la peste.

Château de La Tour : Le château actuel, bâti au 19e siècle, remplace un édifice rectangulaire que devait accompagner un parc. La commande fut passée par Etienne Goujon, médecin et sénateur de l'Ain, à l'architecte Tony Ferret. La construction présente quatre faces différentes, alliant symétrie et dissymétrie. L'entrée principale classique, donnant sur le parc, se compose d'un porche avec des décors en applique rappelant les thèmes des 17e et 18e siècles. La façade donnant sur le village est la plus ostentatoire, avec son donjon. Des visages des deux fils d'Etienne Goujon décorent, toujours en applique, l'angle avec la façade nord. La circulation des façades principales était réservée aux propriétaires, tandis que celle des accès latéraux était destinée aux domestiques. A l'intérieur, un vestibule dessert les pièces principales de réception. Au centre se trouve le grand salon, orné de stucs et de médaillons peints. Le salon sud est tendu de soieries. Les boiseries de la bibliothèque sont complétées par une tapisserie. A l'étage, la distribution respecte encore les dispositions d'origine. Le parc conserve son ancienne entrée, un mur d'enceinte avec une tourelle et un bassin, mais a été détérioré par la construction de maisons dans sa partie sud. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 2006. Autrefois colonie de vacances, il est devenu aujourd’hui une propriété privée.

Château de Thol (Vestiges) : Il fait face au Château de Chenavel, situé de l'autre côté de l'Ain (rivière) à moins de 2 kilomètres. Daté du XIIIe siècle, le château, de forme carrée d'environ 32 mètres entouré de fossés secs, est situé sur une butte au dessus de la vallée de l'Ain. Deux tours, carrées également, sont présentes aux angles nord-ouest et sud-ouest.
L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1927. En partie restauré.


Ecomusée les Vieux Clous : Venez découvrir le charme de ces métiers ancrés dans les temps passés qui nous plongent au coeur même de nos traditions et notre savoir-faire. Vous côtoierez la vie nostalgique de nos anciens en découvrant la mise en marche et le fonctionnement des machines. Les Vieux Clous est une association composée de membres passionnés par la vie d'antan. Elle a pour vocation la sauvegarde et la restauration de matériel ancien, afin de préserver la mémoire de ces vieux métiers, tels que ceux de la terre, de l'eau, du bois, du fer et de l'élevage avec leurs particularités (trieurs, vans, moulins à grain, tracteurs, outils, pièce de vie...).
Ouvert tous les 3èmes samedis de chaque mois de 10h à 12h et de 14h à 17h. Tarif : 2 €. Gratuit pour les moins de 10 ans.
Domaine de Thol – 01160 Neuville-sur-Ain. Tél : 04 74 37 73 87
http://ecomusee-neuville.blogspot.fr/

Le Bourbou : En aval du pont de Planches, sur la rive droite du Suran, curieuse source dans un trou presque circulaire dans lequel il faut voir l’un des principaux exutoires du cours souterrain du Suran.

Le moulin à huile : Situé dans le quartier du port et inséré dans les maisons classées. Il date de plus de deux siècles et possède encore sa meule de pierre, entraînée autrefois par l’énergie de la rivière. Visite du moulin. Vente directe d’huile de noix et de noisettes. Durée de la visite : 1h30.
Ouverture sur rendez-vous. Entrée libre. Tél. 04.74.39.07.80
73, Rue du docteur Hubert, 01160 Neuville-sur-Ain

Le pont et l’ancien port : Inscrits à l’inventaire des sites pittoresques. Premier pont horizontal à 2 arches en pierre construit dans le département, de 1771 à 1777, pour permettre à la voie royale Lyon Genève de franchir l’Ain en territoire français, sans passer par la Savoie.

Le trou des voleurs : Cavité dans la roche (actuellement murée) située au lieu-dit « sous roche », rive gauche, le long de la N.84 entre Neuville et Poncin. C’est une sorte de tunnel dont la largeur varie jusqu’à 4 m et la hauteur atteint 1,50 m. Il s’agirait du cours souterrain d’un affluent de l’Ain (sec en été) pour l’écoulement duquel on a ménagé des ouvertures dans le mur. Ce genre de cavité servait de repaire aux voleurs qui attaquaient les diligences et dévalisaient les voyageurs.

Maisons aux façades classées : Surplombant la rivière d’Ain.

Sentier d'interprétation entre deux rivières : En empruntant ce sentier d'interprétation, vous découvrirez les particularités des gorges de l'Ain et du Suran, à l'aide de 5 panneaux explicatifs. Itinéraire d'environ 5h à faire sur une demi-journée ou mieux sur une journée avec pique-nique à mi-chemin. Ce parcours a été conçu pour découvrir la formation du paysage des gorges de l'Ain et les écoulements souterrains, liés au karst du Revermont. 17 km - moins de 100m de dénivelés.

Site d’escalade : 120 voies de 10 à 25 m - Difficultés : de 4 à 8a, majorités des voies entres 6a et 7a.
Accès : Lieu-dit la Colombière. Ne pas traverser le pont de Neuville sur Ain mais continuer tout droit. Passer devant le restaurant "Au faisan doré" Avancer sur 500 mètres. Prendre la première route sur la droite. La falaise est au bout de cette route, au bord de l'Ain. Se garer vers une barrière interdisant l'accès du chemin circulant au pied de la falaise. Celle-ci se trouve  à 50 m.

Skate parc : En accès libre toute l'année au Domaine de Thol.

Nattages

Infos :

Commune située à 8 km à l'est de Belley, sur les bords du Rhône. Elle est située dans la zone d'appellation AOC des vins du Bugey.


A voir à Nattages  :

Chapelle romane de Chemillieu.

Église reconstruite au XVIIe siècle.

Falaise de Virignin.

Grottes de Pierre-Châtel.

Maison Hugonnier, possible ancien établissement templier.

Pierres à cupules : Etonnants blocs déposés par les glaciers et creusés par les galets en quartzite qui attaquent la roche par percussions et rotations successives. Ces pierres que l’on peu observer aussi à Parves dateraient de 1800 avant J.C.

Pont suspendu de Yenne : Ce pont franchi le Rhône et permet de passer de Nattages dans l’Ain à Yenne, en Savoie.

Présence de vestiges gallo-romains.

Ruines du château de Montbel.



Nantua

Infos :

La ville de Nantua est située au bord du lac du même nom, et au pied d'une haute falaise calcaire instable, sous surveillance constante. Elle est dominée au sud par le plateau de Chamoise. La commune est située dans une cluse avec des falaises au nord et au sud et un lac à l'ouest. Cette caractéristique en fait une commune peu étendue et concentrée. La ville se forma autour d'un monastère de bénédictins, fondé en 671 par saint Amand, et de l'église par laquelle le corps de Charles II le Chauve aurait transité. L'abbaye bénédictine édifiée au VIIIe siècle est ravagée par les Magyars. Au Xe siècle elle est annexée à Cluny et en 1100, elle devient un simple prieuré.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la région de Nantua se distingue par une résistance active à l’occupant nazi. En représailles, les Allemands organisent plusieurs rafles. Lors de celle du 14 décembre 1943, 150 hommes âgés entre 18 et 40 ans sont capturés et emmenés en déportation. Nantua est libérée en septembre 1944 par les troupes débarquées en Provence. Pour l'action de ses habitants au cours de la guerre, la ville de Nantua a été décorée de la médaille de la Résistance française par le Général de Gaulle en 1947. Le monument aux déportés situé sur les rives du lac, et un musée de la résistance rappellent l'action des maquis de l'Ain au cours de la Guerre.
Un énorme rocher de 12000 tonnes, "la Colonne", qui menaçait un quartier de Nantua, fut dynamité le 8 août 1973.


A voir à Nantua  :

Abbatiale Saint-Michel : Construite au XIe sur l’emplacement d’une église primitive, l’église abbatiale classée Monument historique renferme plusieurs richesses remarquables : retable, chapelle Sainte-Anne, chœur roman et gothique, tableau d’Eugène Delacroix, orgue classé Monument historique attribué au facteur Nicolas Antoine Lete (1845). L’Abbatiale, bénéficiant d’une acoustique de grande qualité, accueille chaque été un festival international de musique.
Ouverture toute l’année de 8h30 à 19h. Entrée libre. Possibilité de visites guidées sur demande (gratuite lors des journées du Patrimoine).

Circuit VTC Lac de Nantua -> Plaine de Saint Martin : L'Office de Tourisme propose un nouveau circuit vélo pour découvrir Nantua et ses alentours. Ce parcours sans difficulté longe le lac de Nantua, offre un point de vue sur la plaine depuis les vestiges du château des Terreaux puis rejoint le sentier thématique de Brion qui présente la faune et la flore en zone humide.
Durée : 1h30 (17km)
Niveau : facile

Circuit découverte de Nantua : Découvrez les éléments les plus remarquables de la ville de Nantua en parcourant ce circuit de 2 heures environ avec Michel, un jeune nantuatien qui a vécu dans les années 1960 et vous fait partager sa vie au gré de ses cartes postales envoyées à ses amis et à sa famille.


Le lac : Lac naturel d’origine glaciaire d’une superficie de 141 ha qui atteint une profondeur maximale de 43 mètres. Enserrées dans un décor de falaises calcaires, ses eaux varient du bleu au vert foncé. Pédal'eau, baignade surveillée au stade nautique, voile, pêche, aire de pique-nique, jeux pour enfants sont au programme !

Le puits perdu de Chamoise : Situé en pleine forêt sur le plateau de Chamoise, ce gouffre, qui avait déjà été exploré par un paysan en 1860, a été estimé profond de 57 mètres par des spéléologues en 1947 et 1950. Le fond de ce gouffre peut être temporairement occupé par un bassin. A noter également près de la ligne Haute Tension une faille de  40 mètres, et près du signal de Chamoise un gouffre de 16 mètres.

Le Signal : Point culminant des Monts d'Ain, sur le plateau de Chamoise : vue sur Nantua et les Neyrolles, ainsi que sur la chaîne des Alpes. On y accède depuis Nantua, par la Combe de Vau, ou par Brénod par deux sentiers de randonnée pédestre intitulés "Roche d'Au-Delà".

Monument aux déportés de l'Ain : Il est le premier monument de la déportation érigé en France. Installé sur une avancée de la rive sud du lac de Nantua, il est l'oeuvre d'un sculpteur burgien, Louis Leygue, ancien déporté.

Musée départemental d’histoire de la Résistance et de la Déportation : Musée consacré à la période de la seconde guerre mondiale. Ses collections (plus de 15000 objets), rassemblées pour leur grande majorité par d’anciens résistants et déportés, sont installés dans l’ancienne maison d’arrêt datant du XIXe s. Leur richesse, leur présentation originale et l’architecture du bâtiment en font un lieu de mémoire particulièrement évocateur et un outil pédagogique de grande qualité.
Ouvert au public individuel du 1er mai au 1er octobre de 10h à 13h et de 14h à 18h, tous les jours, jours fériés inclus. Fermé les mardis sauf les mardis fériés. Ouvert toute l’année pour les groupes (à partir de 10 personnes) sur réservation.
Tarifs : Entrée adulte : 4 € / tarif réduit : 3 €. Gratuit pour les moins de 26 ans et pour les visiteurs de la Maison d’Izieu sur présentation d’un billet individuel. Entrée gratuite tous les 1ers dimanches du mois. PassMusées : 5 € (accès individuel illimité sur la saison)
Musée départemental d’Histoire de la Résistance et de la Déportation de l’Ain et du Haut-Jura
3, montée de l’Abbaye – 01130 Nantua
Tél : 04 74 75 07 50

Exposition temporaire 2013 : du 1er mai au 1er octobre 2013.
Après le choc de la défaite, les habitants de l’Ain, comme tous leurs compatriotes se réveillent dans une France  coupée  en  deux.  Rares  sont  ceux  qui  décident  d’aller  à  l’encontre  de  l’opinion  dominante favorable au maréchal Pétain. Poussés par leur patriotisme, ils sont pourtant résolus à agir.  Mais que faire ?  Cette  exposition  dresse  le  portrait  de  ces  pionniers  de  la  résistance  qui  dans  l’Ain,  comme ailleurs, jettent les fondations d’organisations dont les actions s’orientent de plus en plus vers la lutte armée,  avec  en  ligne  de  mire  la  libération  du  territoire.  Témoignages,  archives,  documents  inédits, présentés dans une scénographie vivante et interactive, invitent le public à sonder les âmes de ceux qui se sont engagés dans un combat pour la liberté, parfois au prix de leur vie.
Visites guidées gratuites de l’exposition temporaire :
Dimanche 5 mai 2013 à 15h00
Dimanche 2 juin 2013 à 15h00
Dimanche 7 juillet 2013 à 15h00
Dimanche 4 août 2013 à 15h00
Dimanche 1er  septembre 2013 à 15h00.


Route des Sapins du Haut-Bugey : Composée d’une mosaïque de paysages, le Haut-Bugey doit sa diversité à sa juxtaposition avec les montagnes du Jura au Nord, le Pays de Gex à l’Est, le Bugey au Sud et est délimitée à l’Ouest par la rivière d’Ain, frontière naturelle. Son relief insolite offrira la possibilité de nombreuses activités de plein air quelque soit la saison. Des activités aériennes, de falaises ou nautiques aux beaux jours aux activités nordiques et alpines l’hiver puis s’évadant hors des sentiers au printemps et à l’automne, le circuit de la route des Sapins du Haut-Bugey est le point de départ de vos étapes touristiques. Composé de quatre circuits, la route offre une richesse des écosystèmes et un subtil mélange des arts et des matières. Sans reste sur ce dernier point, son terroir de caractère vous emportera à la découverte de saveurs : Comté, Bleu de Gex, Quenelles sauce Nantua et autres produits de montagne régaleront les palais. Issus de produits simples, les pauses gastronomiques se révèleront comme des éclats de saveurs élaborées délicatement sans les dénaturer. La Route a été créé en 1995.

Légende de Saint-Amand à Nantua

Amand, évêque de Maastricht au VIIème siècle, ayant passé sa vie à répandre la bonne parole, décide de s’accorder une retraite paisible. Arrivé sur les bords du lac de Nantua, il est saisi par la beauté du site et par son silence. Amand obtient de Childéric, roi de France, des terres au bord du lac pour y construire un monastère. Mommulus, gouverneur de cette région, voit alors ses possessions menacées et ordonne à ses hommes de tuer Amand. A l’instant où le coup fatal allait tomber, un puissant éclair jaillit du ciel. Apeurés et aveuglés, les quatre hommes demandèrent pardon à Amand qui fonda ensuite son monastère et les accepta comme premiers moines. Ainsi serait née l’abbaye de Nantua.

Montracol

Infos :

Montracol se situe à une dizaine de kilomètres de Bourg-en-Bresse et à 40 kilomètres à l'est de Mâcon. Commune de 951 habitants, elle se compose d’un bourg et de deux hameaux importants situés sur la route départementale 936 : "L’Etoile" et "La Capitale". Son territoire couvre une superficie de 1456 hectares. Elle s’étend sur un plateau de 240 mètres d’altitude, fortement boisé (400 hectares) et qui comptait jadis une vingtaine d’étangs.



A voir à Montracol  :

Château de La Pérouse.

Eglise romane de la fin du XIe : L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques en 1927. Clés disponibles au restaurant « Au frometon ».

Sentiers pédestres :  Depuis 1995, Montracol offre aux amoureux de la nature, la possibilité d’arpenter trois itinéraires pédestres et de découvrir ainsi les paysages diversifiés de la Bresse et de la Dombes.

Parcours 2A :
Distance 3.7 km
Durée 1 heure
Départ : village - la Croix
A voir : Le chemin des autrichiens. Chemin rural d’une largeur anormale (au moins 5m). Cette caractéristique a sans doute une explication historique. En 1815, après la défaite de Napoléon, les Autrichiens occupent la région où la sécheresse fait rage. Cantonnés à Bourg, ils recherchent les points d’eau leur permettant de pratiquer l’abattage du bétail. L’endroit fut réquisitionné du fait de la présence du bief alimenté par de nombreuses sources. Le chemin fut élargi pour permettre le passage des convois.

Parcours 2B :
Distance 7.6 km
Durée 1 h 50
Départ : village - la Croix
A voir : L’étang Briolet. Bel étang qu’on longe en suivant une large chaussée.
La grande charrière. Ancienne voie charretière reliant Condeissiat à Montracol, Chaveyriat, Vandeins... qui traverse la partie la plus boisée de Montracol, très peu fréquentée bien que goudronnée, elle est très agréable à pratiquer surtout par grosses chaleurs.

Parcours 2C :
Distance 8.1 km
Durée 2 heures
Départ : village-la Croix
A voir : L’église romane de Montracol.
L’étang Curtioux. En suivant un sentier ombragé, on découvre ce très bel étang.
La route des diligences. Chemin creux reliant le Colombier à Servan, vestige de l’ancienne route reliant Neuville les Dames à Bourg. (route royale) - Servan : point de vue sur le bocage bressan.

Château de la Teyssonière (sur Buellas), parc botanique.

Montmerle-sur-Saône

Infos :

Entourée par les communes de Lurcy, Belleville et Saint-Georges-de-Reneins, Montmerle-sur-Saône est située à  11 km au Nord-Est de Villefranche-sur-Saône la plus grande ville à proximité. Montmerle est une agréable cité de 3880 habitants située en bordure de rivière à une quarantaine de kilomètres de Lyon. En saison estivale, elle accueille de nombreux visiteurs qui aiment venir se promener sur les quais fleuris de la Saône et visiter la chapelle des Minimes avec son magnifique panorama sur les monts du Beaujolais.

http://ladombes.free.fr/Villes_Dombes/Montmerle.htm


A voir à Montmerle-sur-Saône  :

Chapelle des Minimes : Située sur les hauteurs de Montmerle, cette chapelle reconstruite au XVIe siècle (église de la Contre- Réforme) est dite des Minimes car elle a été desservie par des religieux de cet ordre. Elle est tout ce qui reste de l'ancien château qui fut entièrement démoli de 1823 à 1828. La chapelle date de l'époque de Guichard l'Enchaîné, premier seigneur de Montmerle (XI° siècle). Le 3 août 1605, Henri de Bourbon, Duc de Montpensier, y installa des religieux de l'ordre de Saint François de Paule dit Minimes. La sauvegarde et l'entretien sont à la base de l'Association "Les Amis des Minimes", qui poursuit avec la commune la réhabilitation du site. On peut actuellement y découvrir une peinture à fresque du début du XVII° siècle représentant le "Purgatoire" dont l’iconographie est caractéristique de la Contre-Réforme.
Ce lieu a également été rendu célèbre par le séjour qu'y fit le Saint Curé d'Ars, venu faire retraite dans l'ermitage qui jouxte la chapelle et a souhaité y résider. Une légende locale affirme que la statue de la Vierge noire à l’enfant, du XIIe, fut trouvée au fond de la Saône par des mariniers.
Ouverture toute l’année sur rendez-vous et du 1er juillet au 31 août tous les jours de 16h à 19h.
Mairie : Tél. 04.74.69.35.56 – Mme Alban : Tél. 04.74.69.36.48

Le parc de la Batellerie : Cet espace aménagé au nord de la commune en bordure de Saône, est un attrait touristique dans un panorama prestigieux.
C'est un lieu de détente et d'amusement pour les plus petits avec des jeux et un bassin pour faire naviguer les maquettes de bateaux en toute sécurité. Des jeux pour la boule lyonnaise parfaitement arrangés avec un espace destiné aux joueurs de pétanque, sont appréciés aussi bien pour les parties amicales que pour les concours.
Ce parc est particulièrement bien adapté pour l'organisation de concerts de plein air. Des bordures en galets de la Saône soulignent la topologie des lieux.

Le parc des Minimes et la Tour : Ce parc, qui surplombe la Saône et le château des Minimes, est un théâtre de verdure merveilleux. C'est aussi une belle promenade, un peu sportive, depuis les quais de la Saône, car on s'élève rapidement de plusieurs dizaines de mètres. On atteint ainsi la Tour des Minimes, très beau belvédère qui sera prochainement aménagé dans le cadre du Contrat de Pays. Sur ce site de nombreuses légendes se sont construites, on parle de souterrains qui traverseraient la rivière, permettant à un châtelain de faire sa cour à sa belle qui demeurait sur la colline de Brouilly en Beaujolais.
La Tour se visite en juillet et août de 16 h à 19 h les dimanches après-midi, le 15 Août et pour les journées du patrimoine.

Les quais : Réaménagés régulièrement et fleuris en été, les quais de Saône sont un lieu de balades tranquilles où tous, jeunes et moins jeunes, aiment à venir discuter, flâner, voir les joueurs de boules, les pêcheurs, les bateaux qui sont amarrés aux pontons de la halte fluviale. En fin de journée on peut admirer le coucher de soleil sur la Saône. Des colonies de cygnes peuplent cette rivière et nous pouvons les admirer en toute saison.
Les activités nautiques trouvent un emplacement idéal avec de récents accès aménagés. Les pêcheurs peuvent bénéficier d'un nouveau parcours, les pieds au sec, pour taquiner l'ablette et de pontons pour une pêche plus au large.Un ponton de pêche, d'accès facile, réservé en priorité aux personnes à mobilité réduite est installé en bord de Saône devant le Mini-golf.
Depuis les quais on peut admirer de belles façades.


Patrimoine culturel : Dans son patrimoine, Montmerle compte également de jolies demeures, comme notamment le Château des Minimes, ou encore le Château de la Zeille ("la belle" en patois bressan). Ces propriétés sont liées à l'histoire de la commune.