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Cormaranche-en-Bugey

Infos :
Cormaranche-en-Bugey, situé sur le Plateau d'Hauteville, à trois kilomètres au sud  d'Hauteville-Lompnès, fait le lien entre le Haut Bugey et le Bas Bugey, à l'extrémité méridionale du Massif du Jura, dans l'axe Nord-Sud. Son point culminant se situe dans la combe de Mazière, à 1240 mètres d'altitude. Le village fait partie du syndicat intercommunal du Plateau d'Hauteville, qui comprend en outre huit autres communes: Aranc,Brenod, Champdor, Corcelles, Corlier, Hauteville-Lompnès, Prémillieu et Thézillieu. En fait, géographiquement parlant, il s'agit d'un réalité d'un val et non d'un plateau. Mais il a reçu cette appellation afin de ne pas être confondu avec le Valromey, situé plus à l'Est, et avec la combre du Val, située plus à l'Ouest, qui sont des vallées plus profondes.

http://www.cormaranche-en-bugey.com/ http://www.cormaranche.info/
http://cormaranche-en-bugey.stations-montagnes.eu/
http://www.plateau-hauteville.com/
Téléchargez le plan du village.
 

A voir à Cormaranche-en-Bugey :

Ø      Belvédère de Planachat : 1234 mètres.


Ø      La Croix et la statue de la Vierge de Servoin : Après la dernière maison de la montée de Servoin, s'élève le tilleul de Sully et une croix. Plus haut se dresse la statue dédiée à la vierge Marie (N.D. de Servoin) édifiée en 1855.
D'autres croix sont érigées ailleurs dans le village.

Ø      La forêt de Cormaranche : La forêt occupe environ la moitié de la surface de la commune de Cormaranche. C'est aussi une richesse touristique, la randonnée (à pied, à cheval, à VTT) permet un contact privilégié avec la nature. La forêt  occupe essentiellement les pentes de la Montagne de Planachat et des Dergis. Elle est en majorité composée de résineux (sapins et épicéas). Cependant, les feuillus sont présents : hêtre (fayard), frêne, charme, chêne, érable, alisier blanc ... Cette variété en fait une forêt très agréable à sillonner en toutes saisons.

Ø      La Pierre à l’Ours.

Ø      Le marais de Vaux : Situé sur les communes de Cormaranche et d'Hauteville, ce marais occupe, à 760 m d'altitude, une dépression d'une centaine d'hectares cernés de prairies et de forêts. Plus de 160 espèces végétales y ont été répertoriées dont certaines, particulièrement rares, sont protégées par la loi. Le pâturage extensif par des herbivores rustiques est le mode de gestion le plus adapté. Le konik, petit cheval d'origine polonaise, a été introduit sur une partie du marais dans ce but. L'ouverture d'un sentier  de découverte au cœur du marais, relié à un circuit balisé de 4.5 km permet désormais de découvrir les différents aspects de ce patrimoine naturel remarquable (ouvert du 1er juillet au 15 septembre).

Ø      L'église : Située à 200 mètres de la mairie, l'église domine le quartier de la Charrière. Elle est placée sous le patronage de Saint Martin. La première construction de l'édifice remonte au XVIIème siècle (clocher daté 1669). Gravement endommagée durant la période révolutionnaire, elle fut reconstruite de 1827 à 1830, pour la partie maçonnerie, et de 1830 à 1835 pour les boiseries intérieures et portes d'accès. Un double escalier de pierre conduit à la porte principale. L'église a 3 nefs éclairées par 18 grandes baies. Les trois cloches datent de 1850, et l'horloge à triple cadran de 1871 (acquise à Lyon chez Charvet). Son style architectural la rattache à la période de transition entre le Roman et le Gothique. Son clocher est octogonal, couvert en zinc.

Ø      Le Bac de Fresne : C'est le plus ancien des bacs de Cormaranche. Jusqu'en 1918, l'eau du Bac de Fresne fut la seule source publique du village. Un bac est attesté à cet emplacement dès 1444. Un lavoir y fut adjoint en 1802. Le lavoir actuel, de forme octogonale, a été réalisé en 1864. D'autres bacs ou fontaines ainsi que des fours sont également présent. Le four de Quart-Bastian est notamment encore utilisé par les associations pour leurs ventes de galettes et pizzas.  

Ø      Le tilleul de Sully : Tilleul aux dimensions impressionnantes situé tout près des dernières maisons du village en montant à la Butte de Servoin. La légende veut qu'il ait été planté par Sully, le célèbre ministre du Roi Henri IV. Il est en tout cas sûr qu'il marque le rattachement du Bugey à la France en 1601.

Ø      Sentier de découverte des arbres et arbustes : Au départ de l’église, le sentier, rythmé par 53 stations d'interprétation des espèces forestières, vous emmène à travers bois jusqu'à Planachat (1234 m), point culminant du plateau d'Hauteville. Tél. 04.74.35.33.19

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