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Ambérieu-en-Bugey

A 30 minutes de Lyon par l'A42, à 20 minutes de l'aéroport Lyon-Saint-Exupéry, Ambérieu-en-Bugey, troisième ville du département avec ses 12000 habitants, vous accueille et vous attend pour vous dévoiler ses multiples facettes. La ville sait livrer ses secrets à ceux qui savent prendre le temps de s'arrêter. Au détour des bois et des sentiers, partez à la rencontre des professionnels du patrimoine bugiste qui vous feront goûter aux plaisirs simples mais ô combien essentiels de la douceur de vivre.
L'histoire de la cité remonte aux temps les plus reculés. Le territoire de la commune a été habité très tôt. On a retrouvé des vestiges de l'âge de pierre et du bronze, de l'époque romaine, du passage des Burgondes... Quand au Moyen-Age, il a laissé le plus beau des témoignages : le château des Allymes, théâtre de la négociation du traité de Lyon en 1601.
La cité bugiste connaît un nouvel âge d'or au XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer. En effet, la ville est située à 50 km de la gare de Lyon Sainclair, ce qui représente la distance maximum que pouvaient parcourir en leur temps les machines à vapeur avec un plein d'eau. C'est aussi le point de départ de l'industrialisation du vallon de Vareilles où fleurissent les fabriques de textile, une scierie, un moulin ou encore des manufactures de tuile ou de bicyclette dans le quartier de l'aviation.
A la veille de la première guerre mondiale, Ambérieu est un centre actif d'aviation qui a vu voler les plus grands : les frères Caudron, les frères Salvez ou encore Antoine de Saint Exupéry qui y prit son baptême de l'air.



A voir à Ambérieu-en-Bugey :


Base aérienne 278 : La Base aérienne 278 est l’héritière d’une longue tradition aéronautique, tant au niveau civil que militaire, qui débuta en 1909 avec l’arrivée à Ambérieu de Louis Mouthier et de son Blériot XI et qui vit Antoine de Saint-Exupéry effectuer son baptême de l’air en 1912. Depuis se sont succédées des activités d’école de pilotage (1910-1930), de fabrication aéronautique (1930-1940), opérationnelles des Forces Françaises libres (1944) et de réparation d’avions (1947-1967). Au milieu des années 60, avec la cessation de l’activité de réparation d’avions, la mission de la Base s’oriente vers la révision des matériels électroniques, mission qui n’a cessé ensuite de se développer. Depuis 1995, cette mission s’étend à la réparation et la fabrication de matériels liés à la sécurité et à la survie des équipages d’aéronefs. Un département qualité créé en 1996 permet à certaines activités industrielles d’être réalisées sous certification ISO 9001. Aujourd’hui, maquettes, photos ainsi que divers objets et documents d’époque regroupés au sein d’une salle « traditions » témoignent du riche passé aéronautique du site.
Branche Evasion : Le parc a crée un parcours noir et un autre baby. Il faut d’abord réussir le parcours rouge pour affronter le noir : échelle Popeye, étrier filant, corde à plateau se succèdent sans répit. Pour tous les sportifs de plus de 1m45. Le parcours baby est conçu pour les enfants entre 90 cm et 1m20. La sécurité est assurée par les parents.
Branche Evasion – Le bois des Brosses, route des Allymes – 01500 Amberieu-en-Bugey
Tél : 04 74 39 95 82 ou 06 34 39 06 77
Centre nautique Laure Manaudou : Bassin 25 m, sauna, hammam, spa, solarium.
Avenue de Mering - 01500 Ambérieu-en-Bugey
Tél : 04 74 38 92 60
Chapelle Notre-Dame-de-la-Côte : La Chapelle Notre Dame de la Côte fut bâtie à la demande des habitants en 1792. Située au centre du hameau de Saint-Germain. Classé Monument Historique, un retable en bois polychrome du XVIe évoque les scènes de la vie de Marie en 7 tableaux. Vitraux représentant Blanche de Castille et Sainte-Catherine.
Ouverture toute l’année sur rendez-vous et pour les Journées Européennes du Patrimoine.
Rue des Arènes, 01500 Ambérieu-en-Bugey.
Tél : 04 74 38 47 05

Château de Saint-Germain : Aujourd’hui il ne reste plus que des ruines qui sont visibles au cours d’une promenade sportive sur les coteaux d’Ambérieu. Un point de vue imprenable s’offre alors aux promeneurs sur la vallée de l’Albarine. Accessibles à pied depuis la chapelle Saint Germain, ou via le sentier de Vareilles, les vestiges du château se dévoilent dans un écrin de verdure. Pans du mur d’enceinte, belle porte ogivale, sont bien expliqués par les panneaux placés par l'association.
L’occupation de ce site stratégique remonterait au VIIème siècle. Au temps des guerres delphino-savoyardes, ce château commandait ceux des Allymes et de Saint Denis en Bugey. Il est aujourd’hui difficile d’en mesurer la grandeur. On considère pourtant qu’il a été l’un des plus importants châteaux médiévaux du département. L’occupation de ce site stratégique remonterait au VIIe siècle. Au temps des guerres delphino-savoyardes, ce château commandait ceux des Allymes et de Saint Denis en Bugey. Il est aujourd’hui difficile d’en mesurer la grandeur. On considère pourtant qu’il a été l’un des plus importants châteaux médiévaux du département. Le château a été construit vraisemblablement entre la fin du 11e siècle et le début du 12e siècle par les sires de Coligny. C’était un des plus grands châteaux du département. Idéalement placé d’un point de vue stratégique, il subit plusieurs sièges, notamment en 1283 et en 1321. Lors de ce dernier siège, Ambérieu fut mise à sac et entièrement brûlée. Le comte de Savoie fit détruire les murailles et les tours nobles qui ne furent jamais reconstruites. Le maréchal de Biron acheva son démantèlement en 1595. Des recherches archéologiques ont lieu régulièrement qui permettent d’étoffer la connaissance d’un château qui n’a pas fini de dévoiler ses secrets.

Château des Allymes : Forteresse du XIVe classée Monument historique. Exemple unique d’ouvrage militaire médiéval en Bugey. Elle se compose d’un donjon de tradition romane et d’une tour circulaire réunis par 4 courtines. Point de vue exceptionnel sur les plaines de Bresse et de Dombes.
Ouverture en semaine de 13 H 30 à 19 H. Ouverture en week-ends de 10 H à 12 H 30 et de 13 H 30 à 19 H. Tarif : Adultes : 5 euros.
Enfants, étudiants de moins de 30 ans et chômeurs sur présentation de justificatif : 2,5 euros.
Enfants de moins de 10 ans : Gratuit.
http://www.allymes.net/

Château de Tiret : Il est la propriété de la famille de Boissieu depuis 1781. Démoli à la révolution, il fut rebâti en grande demeure bourgeoise, au contraire du premier château aux formes plus imposantes. Une partie de son parc a été cédée à la commune d’Ambérieu qui a aménagé l’espace avec la ZAC du Tiret.

Château de Tricaud : Les Tricaud firent construire ce château vers 1680, modifié en 1772. C'est une belle demeure classique avec jardins à la française. Ils se sont installés au château à la suite du mariage, en 1796, de Jean-Marie de Tricaud avec Marie-Amélie Dujast, fille du dernier seigneur d'Ambérieu. Plus tard, Gustave de Tricaud fut le maire d'Ambérieu de 1870 à 1871 et de 1874 à 1878. Le château a subi de nombreuses restaurations qui l’ont complètement transformé. Aujourd'hui inhabité, il borde la rue Amédée Bonnet, et les automobilistes peuvent apercevoir une longue façade bien triste en l’état. Il possède une belle pièce d’eau grâce à une dérivation du Gardon.
Château des Echelles : Il a vraisemblablement été construit au milieu du XIXe siècle en lieu et place d’un premier château détruit par le maréchal de Biron en 1600. Il fut la demeure d’Amédée Bonnet, chirurgien en chef des hôpitaux de Lyon. Le château est entouré d'un superbe jardin de style anglais, œuvre du paysagiste Luizet, d'Écully. Le parc est classé jardin remarquable à l'inventaire général du patrimoine culturel. Le château est propriété de la ville d’Ambérieu depuis 1981, qui y a installé un centre de loisirs, un restaurant scolaire et l’école de musique et de danse.
La Tour de Gy ou maison forte de Saint-Germain : Elle est située à mi-pente entre les ruines du château de Saint-Germain et le village. Bien qu’en mauvais état, elle dispose encore d’éléments architecturaux qui témoignent de son époque, le XVe siècle, et de la richesse de cette ancienne demeure seigneuriale. Elle fut longtemps propriété de la famille de Lucinge, jusque vers la fin du XVIIe siècle.
La Tour de Savoie (XIIe-XIVe) : Elle a été édifiée à l’entrée de la cluse de Saint-Rambert. Elle faisait partie de la ligne de défense construite par le dauphin contre la Savoie.
Le Lac Bleu : Voir à Vareilles, hameau d'Ambérieu.
Monument commémoratif de l’Aigle des Balmettes : Monument inauguré le 11 juillet 1914 pour le centenaire de la bataille du 21 mars 1814 qui aurait vu s’affronter les troupes autrichiennes et des habitants de Torcieu et Saint-Rambert. Un robuste paysan attend le fusil à la main, au pied d’un rocher, l’œil aux aguets du côté d’Ambérieu, l’apparition du premier éclaireur autrichien. Derrière lui, une femme, emblème de la France, est debout, collée au rocher, tenant de la main droite le drapeau de la Patrie envahie et conviant de la main gauche les habitants de Torcieu et de Saint-Rambert à venir barrer le passage aux autrichiens envahisseurs. Au dessus, un aigle de bronze vient s’abattre éperdu sur la pointe du rocher. Il se situe RN 504, à l’entrée est de la ville sur la droite lorsque l’on vient de Saint-Rambert en Bugey.
Musée du cheminot : Histoire du chemin de fer à travers la vie quotidienne des gens du rail (documents, objets, machineries). 950 m2 d’exposition témoignent de l’histoire ferroviaire ambarroise.
46 bis, rue Aristide Briand 01500 Ambérieu en Bugey.
Ouverture toute l’année les samedis de 9h à 12h et de 14h à 18h. Les dimanches de 14h à 18h. En période de vacances scolaires (zone A) : du mardi au vendredi de 14h à 18h. Fermé les jours fériés. Tarif : 4€. Gratuit pour les moins de 14 ans accompagnés.
Tél : 04 74 46 84 67
Parc du château des Echelles : Jardin de style anglais, c’est un agréable lieu de repos où viennent volontiers se détendre les Ambarrois. Il abrite des jeux pour enfants. On peut y admirer le château où vécut au XIXe siècle Amédée Bonnet, chirurgien en chef des hôpitaux de Lyon. Ouvert toute l'année de 9h à 18h30 en hiver et de 9h à 22h en été.
Rue des Arènes, 01500 Ambérieu-en-Bugey.


Parc du Grand Dunois : Ce parc créé en 2007 s’étend sur 2,6 hectares et offre un joli point de vue sur la ville. De larges allées incitent à la promenade au milieu des vignes et des nombreuses variétés de plantes : plus de 4 000 végétaux agrémentent ce lieu de détente. Ouvert tous les jours.
Parcours d’orientation : Au bois des Brosses. 

Pressiat

Infos :

La ville de Pressiat appartient au canton de Treffort-Cuisiat et à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse.






A voir à Pressiat :

Ø     Eglise du 12e siècle : Dans cette église, découvrez des peintures du 15e siècle. Ces images édifiantes à l’usage des fidèles illettrés sont exceptionnelles par la richesse des couleurs et la qualité du dessin. Elles nous renseignent aussi sur la civilisation  médiévale. On y reconnaît le jugement dernier, avec la résurrection des morts et la pesée des âmes. A voir également ses deux chapelles latérales à toit de lauzes, sa statue en bois doré de Saint-Laurent et ses fonts baptismaux datant du xve siècle (classés à l'I.S).
Clef à retirer à l’auberge du Mont Myon.

Ø      Mini via-ferrata du mont Myon : Pratique libre ou encadrée pour l’initiation. Tél : 04 74 30 59 67

Ø      Mont Myon – Jardin botanique : Sommet caractéristique du Revermont (663 m) d’où la vue s’étend jusqu’aux monts du mâconnais. Site classé (flore et faune remarquables) et haut-lieu régional pour le parapente. De son sommet arrondi, une table d’orientation aide à décrypter le vaste panorama qui s’offre à vous. Avec ses voisins, le Montfort et le Mont Châtel, il constitue un ensemble paysager incontournable. Plusieurs accès offrent d’agréables balades. Une légende raconte que les habitants de Pressiat appelèrent Gargantua à la rescousse pour se préserver des attaques incessantes des francs-comtois. Trois coups de bottes lui suffirent pour créer les 3 monts actuels et les protéger ainsi par ces obstacles naturels.

Ø     Rev’Air Mont Parapente : Ecole professionnelle de parapente. Baptême découverte (- de 40 kg), baptême Grand Vol (adulte et enfant de + de 40 kg), journée découverte, initiation. Ouverture de mi-avril à mi-octobre. Route du Mont Myon.
Tarif : de 25 à 95 €. Tél. 04.74.51.58.67 ou 06 80 04 73 13
revairmont-parapente@wanadoo.fr
http://www.revairmont-parapente.com

Ø     Rocher d’initiation de Pressiat : Escalade en accès libre. Difficulté 3 à 5, hauteur : 10 mètres. 13 voies + une mini via ferrata en hauteur de 2 mètres, longueur 150 m, difficulté F.

Ø      Ruines du château-fort de Bois.

Pouillat

Infos :

La ville de Pouillat appartient au canton de Treffort-Cuisiat et à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse.





A voir à Pouillat :

Ø     Eglise : Située au milieu d’un cimetière, elle était autrefois entourée du village de Pouillat, abandonnée à cause des guerres et reconstruite plus au nord. Cette église gothique des 14e et 15e siècles est l’une des plus remarquables de la vallée du Suran et reste l’une des rares du département à avoir gardé son clocher ancien.

Ø      Borne militaire et frontière : Au carrefour de Dalles, Pouillat et Lassera, se trouve une borne insolite. Presque cylindrique, son diamètre est de 40 cm et sa hauteur hors terre de 1,35 m. Il s’agit d’une borne militaire. La distance entre chaque borne (1 mile romain = 1480 m) permet de situer l’emplacement exact des autres bornes qui devaient jalonner cette voie romaine. Durant le Moyen âge, elles servaient à délimiter les seigneuries et les paroisses, plus tard, les départements et les communes, et très souvent aussi de points de départ pour des routes secondaires, ainsi facilement repérables. 

Pont-de-Veyle

Infos :

Surnommée "La petite Venise bressane". Connu pour l'importance de son patrimoine, le canton de Pont-de-Veyle offre d'agréables randonnées aux abords de ses cours d'eau ; moulins rénovés et pigeonniers sont autant de curiosités à découvrir, au-delà d'un chef-lieu où l'on peut apprécier tout l'été le parc de son château, d'une richesse botanique exceptionnelle. Sur tout le secteur, lacs et rivières offrent un cadre de qualité pour les adeptes de la voile, la pêche et la baignade. Le bocage et les prairies se livrent aux randonneurs et amateurs de paysages.

Office du Tourisme, Pavillon du Château, 01290 Pont-de-Veyle. Tél : 03.85.23.92.20


A voir à Pont-de-Veyle :

Ø     Ancienne cité fortifiée : Dite « La Venise Bressane ». Nombreux ponts sur la Veyle et sur ses bras. A voir : la porte Manguet dite Tour de l’Horloge qui protège la Maison du Guetteur. Elle reste la seule des 14 tours médiévales qui ceinturaient la ville. La maison des Ducs de Savoie, l’église de style jésuite. La Maison des Seigneurs ou Maison de Savoie construite par le capitaine châtelain au 15ème siècle rappelle la domination savoyarde jusqu’au traité de Lyon de 1601.

Ø     Apothicairerie : L’hôpital, souvent remanié, abrite une apothicairerie créée par Pierre de Bey en 1718. Réimplantée dans l’enceinte du nouvel établissement depuis 2000, elle présente son mobilier d’époque, ses boiseries, des tableaux du XVIIIe et sa collection de 84 pots en faïence de Lyon au décor bleu « trois noisettes ».
Ouverture toute l’année sur rendez-vous. Tél. 03.85.36.23.50

Ø     Dans le canton de nombreux moulins, pigeonniers, fermes bressanes et leurs étonnantes cheminées sarrasines agrémentent la promenade.

Ø      Eglise du XVIIIe : De style Jésuite, elle s’inspire de l’église Ste-Marie-de-Rome. Elle est constituée de 6 chapelles latérales dans lesquelles on peut admirer des peintures sur toiles. Les stalles, l’autel, la chaire sont d’origine.

Ø      Parc du château : A l’anglaise. Il offre d’agréables promenades aux abords des cours d’eau que l’on franchit grâce à 8 superbes ponts : pont de la cascade, pont à 3 branches, pont suspendu, pont américain… D’une richesse botanique exceptionnelle, ses 12 ha présentent des espèces arborées provenant du monde entier : Tulipiers de Virginie, Cyprès Chauves de Louisiane, Erables Negundo d’Amérique du Nord, Cèdres de l’Atlas et des Ginkgo Biloba (arbres aux quarante écus). A droite de la grille d’entrée – la grille des chiens – se dresse la glacière. Les serres du milieu du XIXe s. révèlent l’existence d’un potager situé à l’arrière. Un passage couvert conduit à l’écurie pigeonnier. Une roue métallique, œuvre d’un compagnon, a remplacé celle qui autrefois arrosait les terres.
Ouverture toute l’année. Entrée libre. Mairie : Tél. 03.85.31.53.14

Pont-de-Vaux

Infos :

Situé à la pointe septentrionale du département, face aux monts du Mâconnais, le canton de Pont-de-Vaux s'étale sur deux espaces naturels remarquables : la Bresse et le Val de Saône. Un pays d'eau, de verdure et bocage, marqué par la diversité de ses richesses naturelles, économiques et humaines.
Office du Tourisme, 8, rue de l’Eperon, 01190 Pont-de-Vaux. Tél. 03.85.30.30.02


A voir à Pont-de-Vaux :

Ø      Bateaux de plaisance : Au cœur de la ville, à proximité des commerces et services, le port de plaisance offre les meilleures conditions d’accueil à 225 bateaux (jusqu’à 15 mètres de longueur). Ces équipements proposent aux plaisanciers des services multiples : branchements eau et électricité, un magasin d’accastillage et un atelier de maintenance ouverts toute l’année. La capitainerie du port est assurée par la société SCITE Plaisance qui propose également une flotte d’une dizaine de house-boats en location au départ de la Seille à la Truchère. Ces bateaux qui se pilotent sans permis embarquent de 4 à 12 personnes. On peut les louer pour quelques jours, une semaine, une quinzaine, un mois et plus.
Renseignements et réservation : SCITE Plaisance, port de Plaisance, 01190 Pont-de-Vaux. Tél : 03 85 30 99 10 / Télécopie : 03 85 30 99 11
http://www.scite-plaisance.fr

Ø      Barrage à aiguilles à la Vieille Seille : Aiguilles : Chevrons de bois, de section carrée, que l’on place les uns à côté des autres pour former la bouchure d'un barrage mobile à aiguilles. Hautes de trois à cinq mètres et larges de dix à douze centimètres, elles se manipulent à la force des bras, les unes après les autres. Relever ou abattre toutes les aiguilles d’un barrage exige un travail difficile de plusieurs heures, pour une équipe entraînée. Technique ancienne, datant du XIX' siècle, elle n'a pas encore disparu de nos rivières.

Ø      Découverte du Val de Saône en bateau : Le « Ville de Pont-de-Vaux 2 », navire amiral du port de plaisance, propose de découvrir en une dizaine de croisières, le Val de Saône du printemps à l’automne. Doté d’excellentes conditions de confort : pont soleil, salle de restaurant climatisée, bar, sono, vidéo… ce bateau navigue dans deux configurations possibles : 80 passagers en version restaurant ou 150 personnes pour la promenade sans repas. Les croisières proposées vont de 2h30 à 7h30, dont les tarifs par passager s’échelonnent entre 14 et 65 €.
Renseignements et réservations : Office de tourisme, 8, rue de l’Eperon, 01190 Pont-de-Vaux. Tél : 03 85 30 30 02 / Télécopie : 03 85 30 68 69
Email : pont.de.vaux.tourisme@wanadoo.fr
http://www.cc-pontdevaux.com/

Ø     Eglise Notre-Dame : Eglise gothique à façade baroque en pierres blanches du mâconnais du début du XVe s. L’édifice se révéla souvent trop exigu pour recevoir les fidèles et il fallut l’agrandir à plusieurs reprises malgré les contraintes liées à l’environnement bâti. Son mobilier ainsi que les 11 tableaux de Brenet et Lagrenée datent du XVIIIe.
Ouverture toute l’année de 9h à 18h. Entrée libre.

Ø      Musée Antoine Chintreuil : Fondé en 1866, le musée Chintreuil de Pont-de-Vaux est installé dans un hôtel particulier de la fin du XVIIe s. Il possède une collection riche et variée, conforme au goût encyclopédique du XIXe s., constituée à partir de dons de l’Etat ou de collectionneurs privés et d’acquisitions municipales. Réaménagé en 1998, le musée Chintreuil offre un bel espace pour la mise en valeur des collections permanentes et des expositions temporaires : l’histoire avec l’évocation du général Joubert, héros de la Révolution Française, l’ethnologie bressane et exotique, les Beaux Arts autour du peintre paysagiste Antoine Chintreuil, une salle d’écologie et un étonnant cabinet de curiosités du XIXe avec son célèbre veau à 2 têtes.
Ouverture du 1er avril au 30 octobre tous les jours sauf le mardi de 14h à 18h. Tarif : 3,50 €. Gratuit jusqu’à 12 ans. Tél : 03.85.51.45.65

Ø      Péniche promenade : Croisières à la journée ou à la demi-journée sur la Saône et la Seille au départ du port de plaisance de Pont-de-Vaux. Lieux de destination : Asnières-sur-Saône, La Truchère, Cuisery, le site des Charmes à Sermoyer, la Maison du Grainetier à Romaney, Louhans… Avec plusieurs passages d’écluses. Itinéraire commenté au passage des différents sites abordés. Renseignements et réservations à l’Office du Tourisme. Tél. 03.85.30.30.02

Ø      Piscine Archipel : Piscine ludique comprenant trois bassins dont un avec bain à remous. A l’extérieur : bassin ludique équipé d’un pentaglisse (quatre lignes de descente) et d’une pataugeoire. Tel : 03 85 23 99 11

Ø      Statue de Chintreuil : Antoine Chintreuil (1814-1873) est né à Pont de Vaux et fut attiré très jeune par la peinture. Un de ses tableaux, "Pluie et soleil", figure au musée d'Orsay et de nombreux paysages sont exposés au musée Chintreuil à Pont de Vaux. Sa statue se découpe sur le vert des tilleuls de la place vice-amiral de Court de la Bruyère autrefois nommée promenade des Champs-Elysées.

Ø      Visite de l’ancienne cité des Ducs de Savoie : Cours intérieures du XVIe, hôtels particuliers du XVIIIe, ancien couvent des Ursulines, charpente incombustible de Léonard Racle. Evocation des personnages célèbres.
Visites toute l’année sur réservation. Tél. 03.85.30.30.02

Perrex

Infos :

La ville de Perrex appartient au canton de Pont-de-Veyle et à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse. Ce village est composé de différents lieux-dits comme Moncoin haut, La Rape, Montanet ou le Bon Coin ou encore Le Pilon. Situé entre Veyle et Menthon peuplé de 780 habitants, Perrex village calme et fleuri s'enorgueillit de ses monuments historiques (pigeonnier et église).







A voir à Perrex :

Ø      Eglise : Cette remarquable église romane du XIIe possède 2 chapelles gothiques du XVe. Son entrée est constituée d’une « galonnière ».
Ouverture sur demande. Mairie : Tél. 04.74.50.00.61


Ø      Le pigeonnier du grand moulin fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 17/12/1993.

Ø      Moulin de Corsant et sa retenue d'eau.